mardi 29 novembre 2011

Dans mes rêves épiques

Je ne suis pas née à la bonne époque, définitivement. Celle les hommes se bataient pour avoir un brin d'honneur. Celle les hommes affrontaient leurs peurs sans crainte, à mains nues, sans penser à leur survie, mais à leur combat . Celle  les hommes savaient être aussi sensibles que forts. L'époque des divins. Celle  les humains admiraient les dieux pour leur sagesse et leur force indéniable. Maintenant c'est chose du passé.

Il n'y a maintenant, à notre époque que peu d'obstacles pour qu'un contexte soit défini en défis. Mais qu'en est-il de la grâce de l'homme, de son honneur? Regresserions-nous. Une pilule pour se muscler tous les muscles du corps ; mais la paresse n'est que grandissante. La fierté de l'homme est perdue, très loin, dans un monde que ceux-ci s'empressent de qualifier d'idéaliste. Si notre instinct animal ne l'emportait pas sur notre intelligence, notre gloire nous apercevrions, à l'horizon.

Certes doutons-nous des dieux, mais qu'ils aient jamais existés ou non,  ils doivent être fort loin prêts à nous appuyer, en nous obsevant d'un air désespéré, dans nos tueries quotidiennes. Je me plais à fantasmer de Zeus qui rit de notre espèce. J'espère qu'il vend de la bière au ciel pour ces dieux, car en tant que chômeurs désemparés, ils doivent être athés en ce qui à trait à l'intégrité divine des humains. Mais surtout, leur manque d'amour en leur propre espèce.

mercredi 5 octobre 2011

-Resilience-


Resilience, - you make me feel powerful every day
Im so strong because of you - and you know what Im talking about
Perhaps you laughing now, and everytime I swim into my mind
Because of you, I growth up like Jack's magic beans everyday - closer to the sky every morning
And when the night come, I try to figure out how you do that - in perfect harmony with my soul





Because of you, I still having fun in my daily fight
You know you can trust me - also I know I have to trust you
Because you believe that Im the perfect guinea-pig for your experiment
Every sad moment become a lesson learned
I thought an angel saved me, or it was you - simply you
Maybe your lost your wings - but you know how you can bring me to Neverland
In your world, the word failure doesn't exist





Resilience - you  give me life everytime I lose hope
You give me hope every time I feel alive













dimanche 25 septembre 2011

Time off please.

Marre des voyeurs invétérés qui mettent leur nez dans le terrain des autres;
Marre de ces habitudes malsaines qu'ont ces gens trop curieux ;
Marre de ces personnes qui ne savent se contenter des télé-réalités à la con pour satisfaire leur satiété;






Pourtant, elles polluent la télévision, ainsi que la culture des spectateurs qui s'en donnent à coeur joie!


N'ont-ils pas une vie, des mains, une tête et des amis à eux, pour stimuler le tout et coordonner leur voyeurisme autrement que par l'action de s'immiscer dans la vie privée des gens?


Ce mal tant bien sain pour certains, est de loin le cauchemar de plusieurs dans cette société où tout est trop facilement accessible. La folie des gens célèbres, soit celle qui les rend complètement épuisés de se faire harceler par des fans finis, commence à être un sujet qui m'intéresse. Car il n'a pas de prix à la liberté, à la paix. S'il n'y a pas de prix, c'est qu'elle est trop chère pour qu'un chiffre lui soit attribué. Ceci dit, mêlez-vous donc de vos affaires, et la vie vous sourira davantage. Soyez sympathisants au respect de la vie privée d'autrui.

lundi 12 septembre 2011

Patience, Courage, Force.



Je ne trouve les mots pour décrire ce que j'ai pu ressentir en apprenant la nouvelle. Ils se bousculaient, tout simplement, tel un désorde qui associe nostalgie, souffrance et colère. ''Non!'', me suis-je dit, ''Non''!






Lorsque j'ai reprit mes esprits, j'ai réalisé que je devais maintenant me relever, car plus vite je le ferai, plus vite je pourrai te supporter dans les multiples étapes que tu devras franchir. Trouver la force je devrai, et ne cessa de me le répéter, tout me visualisant étant forte, à tes côtés.






C'est à ce moment que je réalisa que plus jamais, au grand jamais, je ne voudrai à nouveau te mettre à distance de moi. La culpabilité l'emporta d'abord, puis la tristesse s'empara de mon esprit comme si je l'avais loué à cet instant, car il n'y eu de la place que pour des larmes, encore et encore.






Auprès de toi, à ton chevet, ma souffrance est moindre, puisque je réussis, du moins, j'espère, à soustraire ne serait-ce qu'une infime partie de la tienne, en serrant ta main et en te disant quelques mots, pour te faire comprendre que je suis là.






Le temps est ton ami. Tu le sais, je le sais et toutes les personnes qui t'aiment le savent.






''L'homme progresse tant qu'il accepte les épreuves'' (A.L.)






''C'est dans l'épreuve, c'est dans la souffrance que se forme la sève robuste qui fait un peuple fort'' (L.C.)






''Toutes les épreuves ont leur raison d'être et si on sait les accepter comme il faut, elle peuvent être salutaires'' (Y.N.)






Je t'aime mon ami, ne l'oublie jamais.










dimanche 3 juillet 2011

Too late to.






Grand est le complexe d'infériorité lorsqu'il mobilise l'être à vivre son propre mérite, voire l'intensité d'un moment, d'une opportunité. Momentum: Il n'y a que son propre ombre qui lui nuit et non celui d'autrui. Nothing to add.

mercredi 4 mai 2011

Chère Radio-X-Poubelle

Rien de moins ce matin, qu'une invitée spéciale à la saveur électorale, que nous aurions pu facilement prévoir la présence, le surlendemain des élections: notre Radio-Poubelle a l'honneur de nous faire part de sa grande contrariété face à cette vague gauchiste qui a (enfin) sécoué les conservateurs et leurs cravates. Ayant décidé d'interviewer nul autre que la nouvelle-ancienne (et anéantie) députée Josée Verner, nos animateurs lui expliquaient à quel point la nouvelle élue ne sera pas à la hauteur de la personne de qualité qu'est Verner. Cette dernière, complètement à plat et sans mot du résultat de sa campagne, n'a pu que répéter à quel point la puissance du parti conservateur allait manquer au Québec. En ajoutant à quelques reprises qu'elle était tellement fatiguée, et qu'elle avait grand besoin de dormir pour les prochains jours. Ouf!

C'est alors que Jérôme Landry s'est donné à coeur joie de lui exprimer son empathie en partageant sa découverte qui est la suivante. ''Venez vister notre site et vous verrez la photo de cette jeune élu, Alexandrine Latendresse, jadis posée avec un gilet ayant la mention de ''I hate Bush'' et dans les mains, un fusil à eau''. (Mais c'est épouvantable Jérôme, quelle menace - riais-je!) Mon coeur a été réchauffé à cet instant même. Quelle joie d'apprendre ceci. Enfin quelqu'un d'éveillé cette jeune députée, me dis-je. Ainsi se poursuivit l'échange entre Mme Verner et les animateurs, après lui avoir posé de redontantes questions et avoir entendu de Oh combien redontantes réponses, leurs ''plaigneries'' déboulèrent sur Oh combien le Québec est perdant de perdre cette femme de qualité! Laissez-moi rire un instant, voulez-vous...Elle vous avait gagné d'avance messieurs, en appuyant votre ''nordiques nation'', ou plutôt, votre deuxième raison d'exister ; n'allez pas prétendre que cet appui électoral n'avait rien à voir avec votre penchant pour Verner. Je ne m'étendrai pas sur votre manque de stabilité face à l'opinion que vous aviez du maire Labaume. Vous le vénériez il y a quelques mois, lorsque ce dernier présentait le projet de l'amphithéâtre. Opportunistes, vous avez vu une occasion en or de parler de votre nordiques nation, encore. Aujourd'hui, vous avez su que Régis n'est pas un conservateur de droite, car il l'a ouvertement exprimé. Du coup, il n'est plus le bon gars avec qui vous avez échangé au sujet de l'amphithéâtre, celui qui a accepté de prendre de son précieux temps pour finalement, entendre des propos contradictoires à son sujet, lui trouvant des défauts dont évidemment celui de ne pas penser comme vous et de ne pas être conservateur. (Liberté d'expression, vous direz?)

Bref, rien de suprenant et de très mature de la part de CHOI, de se lancer dans cette campagne de salissage suite aux résultats d'élection (auprès de la jeune et rigoureuse députée); cette réaction -qui ne contient aucune objectivité, mais que de la rancune et un grand manque de professionnalisme leur est bien fidèle. Nous aurions pu prédire cette frustration, seulement à entendre leurs opinions arrêtées et conservatrices - s'efforçant de faire le lien avec tous les sujets d'actualité qu'ils pouvaient débattre quotidiennement, afin de convaincre et d'influencer les auditeurs. Que dire de cette haine, qu'ils ne cessent de partager avec vous, sinon qu'on a assez de cette négative station de radio au Québec - qui est supposé prôner la liberté d'expression - mais à une condition: celle d'être du même avis qu'eux...

dimanche 13 février 2011

Dédicace à Raôul Duguay


Dans ton pays qui pousse dans l'nord, là où il neige encore - l'Abitibi - j'dois te dire que de cette culture je m'ennuie. Moi, mon pays, non loin du tient, j'aimerais te le présenter. Ici, même les hivers aimeraient disparaître, et par une jungle urbaine la nature se fait pourchasser.
Hanté par la culture individualiste, là où s'affronte la génération Y et X, là où l'opportunisme règne, là où je vie. Là où les gens se battent pour être heureux, pour le paraître et ça les rend malheureux.
Là où les gens ne savent écouter, là où les gens sont stressés et parsemés de clichés.
Là où les variétés d'antidépresseurs se font plus nombreux que les médecins, là où le mot solidarité tire à sa fin. Des battants, des perdants, des gagnants, voici la majorité des 3 diversités québecoises. Là où je vie, ici, là où nous avons tous ou presque développé une tactique pour survivre. Dur parfois de vivre et non pas seulement d'exister. Alors je fais comme les autres, j'envie. Mais je n'envie pas autrui, qu'il soit riche ou vaincu. J'envie secrètement l'Abitibi, là où les gens vivent simplement, là où le froid de l'hiver fait du bien. Là où les arbres cajolent ta solitude, là où le vert sème la plénitude. Existe-t-il encore un pays comme le tient, avec un ventre en or, là où le poisson mord? Ici, plusieurs sont morts. Ici, les gens ne connaissent pas le bois, la hache et la scie. Moi, je rêve de venir d'un pays qui est un arbre fort, là où dort de l'or en barres.