lundi 29 décembre 2008

Une simple question d'offre et de demande?

Pourquoi les plantes qui fleurissent ont souvent besoin moins d'eau?
Pourquoi il y-a-t-il 20 poules pour un coq?
Pourquoi dans un couple, il y en a toujours un qui court après l'autre?
Pourquoi 3 films sur 4 sont plates à la télévision?
Pourquoi reste-t-il toujours plus de crème glacée napolitaine?
Pourquoi le 2 pour 1 s'applique souvent sur la bière pas buvable?
Pourquoi il y en a des tonnes de copies mais le film que je veux voir n'est pas là?
Pourquoi reste-t-il seulement du phila sans gras sur la tablette?
Pourquoi sert-on de la margarine à ceux qui ne font pas de régime?
Pourquoi il y a 20 personnes qui se pointent lorsque tu en attends 15
et 15 lorsque tu en attends 20?
Pourquoi les petits pots sont souvent plus chers mais pas toujours meilleurs?
Simple question d'offres et de demandes?!
Si les courbes étaient identiques, l'équilibre règnerait-il?
Dans certains cas oui, mais dans d'autres, l'inverse se produirait.

vendredi 5 décembre 2008

Pas le temps tout l'temps

Le temps me manque tellement
que je ne me souviens parfois plus le nombre d'années que j'ai
Ta face ne me revient pas
J'ai pas le temps de m'en souvenir
Ma face te revient pas
Pas le temps de te prouver qui je suis
Il est si précieux
Que je l'utiliserai que pour ce qui l'est tout autant
C'est du temps à l'état brut dont je parle
Inutile de jouer au p'tit malin avec lui
Il y longtemps que j'ai retourné dans son camps

Qui n'a pas essayé de le contrer
Plus il file, moins on veut le perdre
Plus il glisse, moins on le saisit
Plus il passe, plus il nous est cher
On parle beaucoup plus de lui qu'on le voit
Mais il est parfois mien quelques secondes
Le temps d'apprécier ce qui a plus de valeur encore
Que le temps lui-même
Le temps d'un baiser sur ses lèvres

Le temps d'un compte à rebours et de deux sabliers
Car lorsque je suis sienne, le temps s'écoule au carré

Car je n'échangerai pas ses yeux dans les miens
Contre tout le temps du monde
Les hivers se sont écoulés
Mais aujourd'hui, c'est dans ce temps froid
Que je savoure la chaleur d'un temps nouveau




lundi 17 novembre 2008

La prière d'une Agnostique

Légolas, avec tes yeux d'Elfe, dis-moi ce que tu vois au loin.
Je sens les vibrations des pas d'une armée d'affamés venue de je ne sais où.
Ton arc sera-t-il faire détourner leur escadrille, tes flèches leur faire tourner le coin?
Que la force de ma pensée y exerce une pression tel un écrou.
Léonidas, que ta force de Spartiate soit dans mes nerfs,
que ton courage soit mien
Pour que seule je vaincs mes peurs et que je continue ma route sans crainte

Cléo, que mon jugement soit aussi clair que la puissance que tu as excercé,
pour qu'il n'ait plus en moi cette naïveté
Et qu'ainsi mes émotions aient moins chaud une fois enchantée
Terre, continue de te battre, pour que tous les jours je puisse admirer
l'ampleur de ton astre, de ta grandeur et ce qui reste de ta pureté

Mères des hommes, continuez à donner vie à la bonté
Car de mauvaises personnes tentent de tout dominer
Que dans les naissances ne cesse d'exister l'authenticité



lundi 27 octobre 2008

Spécial Halloween

La bêtise humaine. Nous pouvons l'observer de près chez nos tendres voisins. Leur dirigeant a fait la demande que nous nous joignions à sa bêtise, car il est maintenant bien enfoncé dans son pacte avec le mal. Et qu'a fait l'humain qui a la frousse? Il s'est joint à ce clan de Busherie. Tuer pour le pétrole, faire exploser des villages...Son contrat avec Lulu* s'éternise depuis trop longtemps déjà. Serait-ce dans dix ans qu'il sera reconnu coupable de génocide? Lorsqu'il aura assassiné le tiers de la planète? C'est une bête, tout comme ceux qui se joignent à ses martyrs. ''C'est pour notre pays qu'on le fait''...Chose certaine, l'intelligence n'est pas donné à tout le monde et nous pouvons apercevoir une facette de la vie de cet abruti dans W., qui est présentement à l'affiche.

*Lucifer

dimanche 26 octobre 2008

Besoin de vacances?

Quatre snoozes, trois cafés, une douche bouillante et hop, dans le bus. Soyons réalistes, même si nous contrôlons ''bien'' notre niveau de stress, il va de soi que nous avons tous besoin de vacances. Je sais de quoi je parle en ce jour de retombée d'adrénaline.

Toi, mon job, je t'adore. T'es pimenté de défis, attendrit par une routine dans laquelle j'apprécie ce mot qui m'a pourtant souvent donné froid dans le dos. Le tout, sans oublier mes collègues qui sont à mon avis, la crème en matière de Partners de bureau.
Toi, mon job, tu es une grosse partie de ma vie.
Mais pour une semaine, je t'oublie!

Place à la détente, à l'air frais de l'automne, aux pantoufles, aux films en pyjama, au coocooning, à la zoothérapie avec mes deux bêtes, aux bains chauds, à la lecture, aux Spas et j'en passe.


Du-temps-rien-que-pour-moi.


vendredi 10 octobre 2008

Sommes-nous déchus?

''Dieu est bon'' disaient-ils.
Si Dieu créa l'homme à son image, ou à l'image de son fils, qu'advient-il alors de ce nous sommes aujourd'hui? Certes, si l'image que l'homme projète est celle de Dieu, j'aimerais bien, pour la millième fois dans mon humble vie, faire preuve de ce qu'il appelle de la miséricorde, en essayant de bien comprendre ce que ses ''yeux'' voyaient pour créer la vie à partir de cette image. L'imagination dont il a fait preuve est remarquable, puisque je n'aurais jamais pu croire que l'humain, appelons-le ainsi, puisse faire preuve d'autant de créativité dans le domaine de la cruauté.

Vive la science, celle qui nous permet dignement de devenir autre qu'une brebis de l'imaginaire; dieu merci, la science, une magie explicable qui s'expensionne à des années-lumière d'ici, celle avec laquelle nous usons de notre intelligence intelligeamment, celle qui nous permet de se découvrir, de prévenir, de guérir et de se réjouir.

Dans son Univers, les miracles n'existent pas.

La science elle-même est un miracle.


lundi 29 septembre 2008

Souffle repris

Sous les ponts, l'eau a coulé
Elle a emporté avec elle mes vieux souliers
D'un courant comparable à la vitesse d'une tornade
Mes idées ont changé la direction des canots
Pendant ces jours là, ici il faisait si beau
Même si les oiseaux se préparaient pour une destination au chaud
J'ai profité du soleil d'automne pour monter à bord d'un autre bateau
Pour un voyage comme je l'ai toujours rêvé
Je regarde au large et plus rien n'est compliqué, aucune vague à l'horizon
Et l'air est si bon

Dans un port tout autre, le vent caresse mes joues blanches d'un été
Qui par une douche froide ont été arrosé
Sans oublier les larmes qui m'ont complètement vidé
C'est avec ce soleil que j'ai envie de continuer
Vers une mer des plus sincères
Avec une rame de bois, je réalise ce que c'est de vivre dans un monde différent
C'est sur ces ondes que j'ai envie d'être moi, entourée par ceux qui sont dans le même courant
Et les autres, le vent ne poussera point leur voile, leurs bras ne s'épuiseront point à ramer
Puisque c'est avec leur bateau à moteur qu'ils vont couler
Au fond d'une mer polluée
Aucune sirène pour les secourir
Ils s'éteindront avant même d'avoir poussé un soupir

mardi 26 août 2008

L'orgueil masculin à son meilleur


Parfait en entrée ou en collation


-Dans un grand bol, mélanger une pelletée de rancune à une pincée d'amour propre.
-Ajouter quelques brins d'amertûme au goût.
-Brasser jusqu'à consistance homogène, jusqu'à ce que la pâte soit onctueuse.
-Pour les becs sucrés, ajouter une tasse de fierté.
-Idéal pour accompagner tout plat de résistance, particulièment une tête bien dure, non-mûrie.


Servir froid.


Pour 1-2 personnes


Facultatif: Une mémoire bien fraîche, égouttée (recette plus riche en calories)


ATTENTION: Peut contenir des traces de regrets.


Note: 10/10 ''Un accompagnement que vous ne pourrez oublier'' -Soeur Angelina

dimanche 27 juillet 2008

Carpe Diem


Vivre sa vie en toute simplicité, en toute authenticité, aller au delà de nos capacités.
Apprendre de nos conneries, se réajuster au besoin et en rire en vain
S'entourer de bons amis, s'ouvrir en toute complicité, ne pas se lâcher la main.
Sourire au quotidien, pleurer pour s'alléger, lâcher prise de ce qui nous retient
Apprécier les beautés de la vie et enterrer les mauvais souvenirs
Sécher ses pleurs pour vouloir en beauté, vieillir
S'ouvrir des horizons palpables en dessinant notre avenir
Ne pas accepter ce qui est inacceptable, faute de se mentir, de se punir
Se laisser envoûter par la nouveauté en toute liberté
Voîlà mon passage dans un monde sans nuage
Là ou je pourrai grandir et oublier ce qui m'a fait souffrir
Le temps est venu d'y voir plus clair et de tourner la page
Le temps est venu de saisir le moment présent
Et oublier tout ce qui n'avait pas de bon sens
Le temps est venu de continuer vers ce qui jadis m'allumait, concrétiser mes projets
Hier, je n'y voyais qu'un seul aspect
Aujourd'hui, le temps est venu de m'ouvrir à tout le reste.
Derrière moi, le passé je laisse

mardi 1 juillet 2008

Byebye Quartier S-J-B


Aujourd'hui, j'te dis Aurevoir p'tit quartier


T'étais devenu une partie de mon train-train quotidien

Un complément à mes besoins

En passant de la terrasse chaude du Sacri à la boucherie,

Du dép aux choix de bières dont j'étais assez fière,

Des fins épiciers aux restos branchés

T'es de loin un coin à faire envier les parisiens

Il y avait longtemps que j'métais pas senti autant parmis les miens

Mon oasis urbain se mariait à ma terrasse en bois

Que j'ai tant apprécié ces derniers mois


Byebye coin de gaité!

Jamais je n'oublierai notre complicité.



jeudi 19 juin 2008

À la découverte des Homo Sapiens...


Ces hominidés se situent au niveau 2 sur l'échelle de l'évolution. Ils disparaîteront sans doute avant d'avoir atteind le niveau 4. Ayant de la difficulté pour plusieurs à se reproduirent, ils s'entretuent et grandissent souvent dans ce qu'ils nomment ''la violence''. S'étant eux-mêmes approprié les ressources naturelles de leur planète, ils en bénéficient que très peu, puisque la guerre actuelle pour celles-ci en emportera plusieurs. Des millions d'humains ne peuvent profiter des vertues que leur propre terre produit. Donc, ils en meurent.
La ''violence'' découlent souvent de l'injustice, ce qui développe donc une haine évidente et observable. La haine, cette arme destructive qui s'est emparée des nôtres il y a quatre milles ans. Nous observons certains humains développer des troubles d'ordre cognitif, ce qui contribue au sort qui leur ai réservé. L'autodestruction par l' absorption orale de produits toxiques et divers autres moyens est fréquente et plusieurs n'y échappent pas, en développant une dépendance qu'ils ne peuvent eux-mêmes contrôler.
Ils sont donc une menace pour eux-mêmes. Certains croient en notre existence, mais plusieurs pensent que nous sommes hostiles. Ils se seront exterminés eux-mêmes avant d'avoir déchiffré un seul de nos signes, parmis les centaines laissés dans les espaces réservés à la plantation de ce qu'ils appellent ''maïs''.

Conclusion: Espèce vivant dans un milieu d'eau, épuisant elle-même ses propres ressources. Aucune notion de vie, à l'exception de la procréation. Ils préfèrent la survie à la vie.

mercredi 16 avril 2008

Voltage au thalamus

Du nouveau dans le domaine médical. Des électrodes implantés au cerveau et reliés à un stimulateur dans la poitrine ont été mis au point afin d'améliorer l'état, l'humeur et la vie des gens souffrant de dépression.

Lorsque toutes les autres stimulations possibles ne sont plus efficaces, en passant par l'approche thérapeuthique, individuelle, de groupe, les anti-dépresseurs et toutes celles que j'oublie, que dire de cette stiumulation forcée des neurones fusionnée à une chirurgie?!...

Pour ceux et celles ayant ce mal de vivre, qui ont perdu espoir, ne développant aucune passion pour ce qui autrefois les passionnait, j'osais espérer qu'il existe des moyens et outils autres que d'envoyer une décharge électrique afin de leur redonner le sourire.

À vous, sujets concernés, d'ici et non de votre poitrine, je vous envoie des ''ondes'' positives et un peu de ma soif de vivre, afin que vos princiaples activités ne soient plus broyer du noir, broyer du noir et broyer du noir.

jeudi 3 avril 2008

Memorandum

Rien en ce monde n'appartient à quiconque. En passant par les trognons et moins mignons animaux domestiques que nous nous approprions, aux voitures de collection de grand-père. Rappelons-nous que rien, ni même notre état de santé n'est coulé dans le béton. Sans doute que si cet élément était réellement prit en considération sur cette planète, il va de soi qu'il aurait moins de perte, tant au niveau environnemental, économique et relationnel dans la société. Donc, saisissons et dégustons ce que la vie nous offre, au lieu de toujours vouloir plus sans même considérer ce que nous ''possèdons'' temporairement. Car demain est un jour nouveau.

mardi 1 avril 2008

Ton monde, mon monde


Notre monde est ce que nous nous en faisons. Il est à l'image de nos interprétations. Enivré par nos rêves, emflammé par nos désirs, couronné par nos exploits et nos échecs. Sans ceux-ci, nous ne pourrions atteindre le sommet et être ce que nous sommes aujourd'hui. Ce chemin qui t'a mené à ce moment présent, à lire ce texte. Le mot destin a-til été inventé pour ceux et celles qui manquent d'inspiration afin de définir un avenir sans issue? A-t-il vu le jour lors d'événements qui ne peuvent s'avérés être de purs hasards?
Pour certains, le bohneur peut représenter un simple rayon de soleil et pour d'autres, le soleil en entier ne leur suffira point.
Vivre 10 ans, vivre 100 ans; avoir comme vue de sa fenêtre un champs de fleurs, un champs de mines. Goûter au bonheur et à l'eau potable, respirer tous les jours l'odeur de la ville, ou de la mer.
Attendre un train qui ne passera jamais ou se laisser mener dans un périple de folies.
Être disciple ou leader, affronter ses peurs ou les laisser nous contrôler.
Tout faire pour en finir, se battre pour survivre, vivre pour aimer.

La vie vous appartient. Faite vos jeux.

mercredi 12 mars 2008

Un éveil blanc

Le printemps connaîtra un éveil blanc, il n'a pas de doute là dessus. Les quelques degrés au dessus de zéro et les infimes percées de soleil font présentement chanter les oiseaux. Ceux qui n'ont pas perris, gelés dans la spectaculaire tempête du weekend passé du moins! C'est sans doute ces détails qui ont aujourd'hui éveillé mon inspiration et qui feront en sorte que ma page ne sera pas aussi blanche que le paysage. Je ne m'étendrai pas sur ce chaud sujet qui est le réchauffement de cette pauvre planète. Mais plutôt sur le réchauffement de ceux qui l'exploitent à lui en donner des sueurs. Le ''réchauffement'' des ses habitants.

Si la température ne nous permet pas de réchauffer nos corps, réchauffons donc nos esprits à l'idée de ce qui nous attend d'ici à peine quelques mois. Plus d'une raison fera rire les oiseaux et chanter les abeilles!..


Siroter une bière froide couché dans un hamac pendant que les burgers grillent sur le BBQ

S'étendre sur les plaines, faire voler un cerf-volant, patauger dans l'eau

Faire la fête sur le Louis-Jolliet, danser au rythme de la musique du festival d'été

Se faire hypnotiser par les flammes d'un feu de camp en pleine forêt et en bonne compagnie...


Je me suis emplement ''réchauffé''... la suite sous peu!

Bon dégel à vous.



lundi 10 mars 2008

Pardonne-nous nos offenses

Cette limite qui sépare l'acceptable de l'inacceptable, ce qui fait en sorte que le pardon sera de la partie ou pas, est-elle descriptible et mesurable? Des chiffres et situations ne sont parfois pas suffisants pour expliquer ce qui nous pousse à prendre la décision de ne plus pardonner à certaines personnes.

La tristesse, la colère, la déception et les années...Ces élément sont-ils suffisants pour prendre conscience de notre dureté face au refus du pardon? Simplement le seul fait d'avoir le doute face au regret de la personne concernée suffit-il? Mieux encore, si c'était à refaire, aurait-il un réel revirement de situation ou simplement la même scène qui se produirait...?...
La cruauté côtoie l'excès. Elle accède au mal le plus souvent possible. Elle excelle dans le domaine des armes. Les armes qui tuent lentement et qui s'attaquent principalement à la confiance. Celle-ci est alors atteinte à deux niveaux: la confiance envers la personne usant de cette cruauté et la confiance que la victime accorde à sa propre personne.

Une chose est certaine, accordons-nous le droit de respecter notre propre personne en refusant de pardonner à ceux et celles qui ne le mériteraient aucunement et ce, à peine dans une autre vie.

Connaître ses limites face au pardon et les appliquer, c'est refuser de s'endurcir davantage derrière une armure qui nous étouffe, nous empêchant ainsi de mettre un pas devant l'autre.


mercredi 13 février 2008

Rencart avec Cupidon


Petit ange doré, je ne suis pas à mon premier rencart avec toi

Et le dernier fut rempli de pourquois

Mais en toi j'ai gardé foi

Ne descends pas trop longtemps tes fesses de ton nuage

Car en cette Terre règne présentement le Grand froid

Il faut croire qu'il n'effecte nullement cette chaleur en moi

Mes yeux se demandent encore si cela s'avère être un mirage

Et ma tête est du coup en parfaite coordination avec mon imagination


Plus avance les saisons, plus je constate que ta flèche prend une meilleure direction

Je dois t'avouer que son dosage de frissons met du piquant à ta combinaison


Repars aux Cieux la tête haute et fais en sorte de ne jamais perdre ta passion

Car elle est pour les humains une indiscriptible sensation


lundi 4 février 2008

Semblables et à l'extrémité


Curieusement, nous pouvons observer une action, un comportement et/ou un signe qui s'avèrent être semblables, tout en étant complètement à l'opposé dans l'échelle des émotions, par rapport à ce que la personne vit en la ressentant. Voyons voir...



Quels yeux brillants, comme s'ils flottaient dans la graisse de ''beans''!..

-La nuit a été longue, elle n'y a pas fermé l'oeil. Une nuit mouvementée de cauchemars qui lui en a donné froid dans le dos jusqu'au petit matin. Ses paupières sont lourdes et toute la journée, elle combat le sommeil.

-Elle ne peut arrêter d'y penser; elle rêve éveillée à de belles choses en sa compagnie. Ses yeux sont comme des miroirs; on s'y voit dedans!



Des larmes coulèrent sur ses joues..

-Elle pleura toutes les larmes de son corps et c'est avec une immense tristesse qu'elle fit son deuil.

-Lorsqu'elle apprit la surprise, au cou elle lui sauta et elle versa des larmes de joie.



Elle pense souvent à lui...Il hante ses pensées et à chaque fois:

-Des frissons de dégoût lui parcourent le corps juste à y songer...

-Elle rougit juste en se l'imaginant, elle a chaud, très chaud...





*L'utilisation du féminin a pour but d'alléger mon texte.


vendredi 1 février 2008

Perdre sa vie à la gagner

À ce que je sache, nous avons une seule vie à vivre . À moins de se situer socialement dans les ''catégories'' à part, nous devons gagner notre vie en occupant un emploi qui devrait avoir pour but, l'épanouissement professionnel et personnel ainsi que la satisfaction de l'accomplissement de soi. Un emploi stimulant, qui nous permet d'être dans la mesure du possible, stable.

Je me demande encore pourquoi il y a tant de gens qui s'entêtent à être malheureux au travail. Hey, les zoufs, on a juste une vie, bordel (à moins d'être la femme-chat)!!

Pourquoi prendre ce précieux temps à nous faire ___ avec des fonctions qui nous font ___ ?!?...

40 hres par semaine / 160 hres par mois / 1920 hres par an

Pensez-y!

lundi 28 janvier 2008

À Lulu


Toi, le mal, tiens-toi loin de mon être. On a plus rien à se dire d'ailleurs, plus rien à échanger. Retournes d' où tu viens, près des flammes. Emportes tes démons dans ta torpeur et saches que tu ne me fais plus peur. Je sais maintenant les sentir de loin, même si parfois je les confonds avec le bien. Dis-toi que je finis par démasquer tes supos, tôt ou tard.


Tu te croyais bien futé avec tes petits ''masqués''!... Je ne leur dirai pas d'aller au diable, ou en enfer, ça ne changera rien à leur quotidien ou à ce qui les attend. Je ne leur souhaiterai pas le mal puisque je ne veux pas être l'une des tiennes. Inutile de leur souhaiter le bien, car ils récolteront ce qu'ils ont semé quoi qu'il advienne.


Toi, le mal, hors de ma vue, de ma vie, si tu veux pas te ramasser les cornes sciées et la fourche au cul. Je te préviens Lulu, tu connaîtras la défaite et par mon ange tu seras vaincu.

lundi 14 janvier 2008

Il sera...


Il sera mon ami, mon amant, mon amour.
Il sera à la fois mon soleil et ma lune
Il sera la voix qui me calmera en tempête
et sa main me protègera des Judas.
Il sera celui qui me fera vibrer comme jamais
et notre histoire n'aura pas de ''mais''

Sa douceur m'apaisera plus qu'un million de séances yoga
et sans cesse il m'en redemandera
Il sera celui que j'admire
et il aura toujours le mot pour me faire rire
Avec le temps, on aura toujours soif de se découvrir
et à l'infini il me donnera du plaisir
Équilibré et courageux il sera
Un jour, il sera celui à qui je ferai lire ces lignes.
Patiente je serai pour découvrir celui qui rimera avec tout ça.


samedi 12 janvier 2008

Après réflexions..Mes Résolutions!





Pourquoi se casser la tête à trouver des résolutions qui ne nous conviennent pas, ou simplement que nous n'allons pas suivre!?







Haaaaa, que les gens sont tannants avec ces trucs de résolutions!!! Mais vous vous dites, pourquoi pas, pourquoi ne pas changer ou/et améliorer ce qui vous tourmente, agace et ralentit dans la vie?! Finissons-en avec ces résolutions. Je vous invite donc à vous inspirer de ma liste pour y voir plus clair.


-Connaîssez votre propre valeur. Rappelez-vous ce que vous valez. Respectez-vous et les autres en feront autant à votre égard.


-Les filles, n'ayez pas dans vos critères masculins la beauté et la gentillesse face à votre Jules; ayez la beauté, la gentillesse, l'intelligence et le côté Gentleman pour la princesse que vous êtes, mais surtout la certitude qu'il sache la chance qu'il a.


-Il y a bien des trucs que nous ne choisissons pas dans la vie. Certains nous exaspèrent et nous épuisent. Pourquoi ne pas être plus sélectif en amitié et en amour. Rappelez-vous que ces choix restent uniquement les notres toute notre vie.


-N'attendez pas le voyage des cendres pour connaître le paradis. Vivez chaque jour de votre vie comme si c'était le dernier. Créez votre bonheur sans attendre après autrui pour en goûter la saveur.


-Dites Adieu à vos dépendances néfastes. Elles vous contrôlent. Vous n'aimez pas être contrôlés.


-Habituez votre body à bouger plus, plus, plus et la santé ne sera que meilleure.


-Gâtez-vous et faites en sorte que vous puissiez vous traiter de chanceux(euse). La vie vous sourira davantage. Rappelez-vous à quel point vous le méritez!


-Calmez vos p'tits nerfs et dites alors Bonjour à l'énergie.


-Riez et faites rire les autres. C'est une cure du tonerre.


-Écoutez-vous.



Bonne Année!